Ce jour là, devant le merveilleux tableau de Klimt
Elle s’était laissée happer par l’univers du peintre.
Et l’hideuse tentation qu’elle avait
De renoncer à écarter librement ses doigts
sur la lumière de la chair devenait l’image de la mort
Et elle, entre
la volupté, le corps, temple de l’âme, l’infini par le sexe et le cœur
Et le désir manqué, le désir refoulé des êtres sans art et sans âme
qui ne savent qu’épuiser l’autre, le prendre pour l’annuler
Elle, entre
Le choix de sa libre jouissance d’être,
Et... l’hideuse souffrance du rien.
La cruauté sépare.
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