L’un,
l’unité,
l’étreinte du souvenir intra-utérin
qui alimente les blessures de mes passions amoureuses et
qui creuse l’abandon dans mon âme où des lacs de mercure ondoient
Souveraine, ma déesse d’airain
L’ amour taillé dans le métal
L‘ Indifférente, se sert de ma douleur comme écrin
Trois larmes d’acier et sauvage
Mon chagrin coule sur les marches du ciel
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