Insomnies
Les bruits du jours qui traînent
Sans réussir tout à fait à finir
Dans le silence de la nuit
Et savoir l'incompréhensible solitude
Entre deux corps qui se haïssent
Mais dorment pourtant dans le même lit
Alors que les corps séparés
De ceux qui s'aiment
Déchirent le temps
Créant la béance infinie
Le néant où tombent les rêves.
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